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Imsouane et Takat 

Vendredi, nous continuons à descendre la côte vers le sud.


Nous arrivons à Imsouane. Ce petit village de pêcheurs est devenu le spot incontournable de surf du Maroc. Il y a 2 plages, dont l'une est parfaitement adaptée à ce sport : il y a tout le temps des vagues, et elles ne sont pas trop grosses.


Installés au camping dans une ambiance jeune et décontractée, on déjeune et on profite du soleil.

On a même, pour la 1ère fois, déplié le store ! Bon, on l'a replié 2 minutes après car il ne servait à rien.

Des bateaux transformés en petites cabanes, amusant!


On part ensuite se balader dans le village. On regarde les surfeurs, c'est très sympa.


Retour dans ITI pour travailler un peu, puis on ressort pour dîner.


On voit un beau coucher de soleil sur la mer.


On s'attendait à une grosse ambiance avec tous les surfeurs, mais en fait c'est très calme. Épuisés par tout ce sport, les gens doivent probablement dîner dans leur auberge et se coucher tôt.

On dîne du coup dans une atmosphère très tranquille. Le service est un peu long, mais c'est bon !

Pour changer, Rose a pris des?

Pour mettre dans le thé à la menthe, un énôooooorme sucre.


Samedi, nous partons de bonne heure pour rouler jusqu'à Takat. C'est une ville située au sud d'Agadir, où il y a un camping dont on a entendu du bien.

La route est belle mais un peu longue. On traverse Agadir.


Arrivés à Takat, nous sommes un peu déçus. Le camping est bien tenu, mais il est au milieu de nulle part, il n'y a que des retraités et l'ambiance est moins sympathique qu'ailleurs.

Une résidente du camping


Heureusement, on rencontre Nicolas et Miho, et leur petite fille Emi. Après une après-midi reposante (lessive, petit plouf pour les enfants dans la piscine un peu fraîche), on passe une très bonne soirée ensemble.

Une photo de l'intérieur du magnifique bus de Nicolas et Miho :


Dimanche, nous partons pour la réserve de l'Oued Massa. Cette réserve se situe à une petite heure de route du camping.

Les derniers kilomètres se font sur une piste caillouteuse. On roule doucement, ça passe !

Comme vous pouvez le voir, ITI prend petit à petit une belle couleur naturelle.


A l'entrée de la réserve, on se gare. Nous allons poursuivre à pied avec un guide, Mustapha.

Nous pouvons ainsi sortir du sentier et aller sur le bord de l'Oued. Nous voyons des flamands roses, des hérons, des cormorans et des ibis falcinelles (qui sont de couleur brun-noir). On ne verra pas d'ibis chauve, une espèce très rare, qu'on trouve ici habituellement. En effet, ils nichent dans un autre endroit, plus loin.

La balade est agréable, Mustapha nous montre des empreintes d'animaux, des plantes...


Au bout d'une heure de marche, nous sortons de la réserve. Comme il faut encore marcher jusqu'au village de pêcheurs, les enfants prennent un "taxi berbère" (ils montent sur un âne). Ils sont très contents.


Arrivés près de la mer, Antoine repart en mobylette avec un jeune pour aller chercher ITI (pour ne pas qu'on ait à refaire le chemin en sens inverse). Une bonne expérience aussi !


Nous continuons la balade. Nous découvrons le village de pêcheurs, qui est troglodytique.

Nous buvons un thé à la menthe chez un pêcheur du village.

Nous attendons un petit moment, puis Antoine arrive à nous retrouver (Non sans mal et après avoir roulé dans des dunes !).


Nous rentrons au camping, fourbus après cette belle journée !


On achète un beau tapis en plastique pour mettre devant le camping-car (pratique avec toute la poussière).

A bientôt!

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